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A la recherche d'un chemin

29 octobre 2008

Le premier jour du reste de ta vie

le_premier_jour_du_reste_de_ta_vie_203Le premier jour du reste de ta vie est une comédie dramatique chargée en émotions qui retrace la vie d'un couple et de ses 3 enfants, une fille et deux garçons. L'histoire commence à partir de l'instant où l'ainé quitte la famille, et rencontre sa future femme. La fille cadette va voir passer des crises assez importantes tandis que son frère recherche sa voie. On y voit les crises, les rires, les larmes d'une famille où chaque membre présente une force de caractère pour traverser le torrent de ce moment de vie... jusqu'au jour où...

Sortie en Juillet 2008, on peut encore le voir à l'affiche dans certains cinémas. Quoiqu'il en soit, la sortie en DVD va se faire attendre.


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20 octobre 2008

Requiem

                           

« Vous étiez dans les bras de votre mère. Vierge à l’Enfant, Pietà, mais en guise de crucifié c’était seulement une jeune femme qui s’était pendue. Quand leurs filles meurent, les femmes en redeviennent grosses jusqu’à la fin de leur vie. Leur ventre est beaucoup plus lourd que la première fois. »

Pas la peine d'écouter Requiem de Mozart pour se rendre compte de l'émotion sous-jacente à ce bouquin. Les mots sont durs, le sujet de fond est grave ; le suicide. Toujours présenté telle une ombre qui plane, par des références noires - morbides - subtilement placées tout au long de l'histoire. Ces piques déstabilisantes que l'on ressent comme une épée de Damoclès, prête à tomber sans crier gare, sont-elles déjà passées, présentes, imagination futures... l'ambigüité persiste au début tout au moins. Le rythme s'accélère tel la spirale qui vous aspire dans les bas fond.

-- "Et c'est là qu'on habite, et c'est là notre maison. Il y a toujours plus profond, que le fond."  Mano Solo

8 octobre 2008

Artwork

Voici un artwork qui met en images une psychopathologie.
Un dessin vaut parfois mieux qu'un long discours :

Maniacodepression_tiriwurst

Bon, sans déc, envi de se scarifier et se recoudre derrière, il faut arrêter de suite et consulter. Il ne faut pas croire que tout le monde est parfait, et parler de ses soucis à quelqu'un. La thérapie commence par la prise de conscience. Ensuite, se prendre en main et assumer.

Peut-être que les médocs ont tendance à faire perdre la mémoire, donc attention à ne pas oublier. Prendre des notes me parait essentiel.

-- Après la pluie vient le beau temps.

5 octobre 2008

Guerre économique sur fond de rock progressif

 

Découvrez Pink Floyd!

Aaaah, voici un éloge à la médiocrité : d'un point de vue professionnel, voici ce qui peut m'attendre au tournant.
Qui a dit "conscience professionnelle" par les pratiques de ces prétendus pro ? Je parle ici du système décrit, non de l'attitude de l'auteur qui fait de son mieux pour sa survie. A sa place, je serai écoeuré. L'Homme est conditionné par l'Homme, c'est la vie.

Bref, il ne faut jamais prendre son travail trop à coeur, car on pourrait en avoir le coeur brisé. Ne jamais vivre de sa passion, surtout quand elle devient addiction. En attendant de savoir quoi faire, on peut noter que la guerre économique peut être une vocation. Pour les "guerriers" des temps modernes, voici l'orientation de choix:  l'EGE. Ces guerriers seraient-ils à la source de la crise économique, prélude à la crise collective ? N'en soyez pas victime, battez-vous ! Et ne craquez pas... surtout pas.

wall2


the_wallMorceau choisi : Mother / The Wall / Pink Floyd
Ces artistes étaient donc bel et bien visionnaires au point de savoir vivre dans la peur.
Seul l'expérience a pu leur ouvrir les yeux à ce point, voyez donc :

(...)
Mother should I build a wall
(...)
Mother will they put me in the firing line
(...)
Hush now baby don't you cry
Moma's gonna make all of your
Nightmares come true

Moma's gonna put all of her fears into you

Moma's gonna keep you right here
Under her wing
She won't let you fly but she might let you sing
Moma will keep baby cosy and warm
Ooooh Babe Ooooh Babe Ooooh Babe
Of course Mom'll help build the wall
(...)

Pour une fois, merci de ne pas dégraisser ce qui est en gras. "Goodbye Blue Sky."

-- Quand on n'arrive plus à parler, on peut parfois réussir à chanter.

(c) l'image de l'aigle : The Eagle Carries Off The Bleeding Earth by Gerald Scarfe.
     Extraite de ce site.

5 octobre 2008

Au septième jour, Dieu ne créa rien

Aujourd'hui, c'est Dimanche et c'est mon premier jour de blog-age intensif. Je ne sais pas encore ce qu'il va apparaitre sur ces pages, mais voici le résultat de ma recherche du jour ; de mes pensées du jour.

desordre

Pour ceux, qui comme moi, cherchent un sens à tout ça, voici un site qui peut donner un repère tangible (pour autant que vous aimiez le contact froid et électrisant d'un tube cathodique).
Le site du désordre est passionnant à tel point qu'il met en image toutes les associations qui peuvent apparaître dans un esprit cartésien lorsque celui-ci s'emballe. Finies les règles, finie la hiérarchie, bonjour la VRAI vie.

yeux_enferLorsqu'il s'emballe justement, vous pouvez avoir l'impression d'être en enfer. Voir les gens que vous appréciez comme des démons, ça a de quoi vous paralyser je vous jure. Qui a déjà vécu celà ? Tout le monde ou personne, c'est pas cette saloperie de machine qui va répondre. Vivre sa vie à un train d'enfer en ces temps modernes, c'est donné à beaucoup de monde. Y'en a qui le cherchent, mais sans spécialement l'avoir vraiment choisi.

Peut-être plus par choix de survie ? Mais alors où est donc la frontière entre la vie et la survie ? Qu'est ce que la normalité ?


Dans ce train là justement, alors que je lisais un livre qui parlait d'un inceste, j'ai entendu les voisins de la table carré "IdTgVé" parler de la drogue du violeur. Une coïncidence parmi tant d'autres tout autant incroyable, qui ne cessaient de se dérouler devant mon être, et ce depuis plusieurs semaines... Ces "voix" étaient-elles VRAI ? Etaient-elles dans ce train, dans ma tête, contre moi pour m'avertir d'un danger ?

21_27_cocotte_minuteEn tout cas, la parano ça vous accule au point de vous rendre complètement bloqué. Après ce bout de chemin dans ce train, il ne m'a pas fallut longtemps pour disjoncter. La mégalo, la mytho, tous ces maux de l'esprit sont pure imagination. Mais parfois l'imagination dépasse la raison. Heureusement que les docteurs sont là. Ils ont de bon pansements de l'esprit et un bon enfermement temporaire peut remettre tout ca "à plat" comme on dit. En attendant la prochaine zone rouge du savoir. Ou plutôt croire savoir, et s'y projeter, c'est ça la parano ?

Quand on aime aller au fond des choses, c'est qu'on n'a jamais été au fond des gens, qu'on n'a jamais aimé ? En est-on capable ? Je sais désormais qu'il ne sert à rien de le regretter mais qu'il faut l'accepter. "Ne fais pas aux autres ce que tu n'aimerais pas qu'on te fasse". Voilà une bonne "règle" que j'appliquerai dans mes futures actions, pour définir ma nouvelle philosophie de la vie - ma renaissance. Arrêter de me mentir à moi-même, même si j'ai peur de ne pas en être capable. Se mentir à soi-même est-il nécessaire pour avancer ? Quand je remet en question mes mensonges, je regrette et je recule. Donc non, arrêter de se mentir à soi-même ! Voir la vérité en face.

Il parait qu'on reconnait un homme à ses actions ; on dit aussi que le savoir c'est le pouvoir. Alors l'inaction est donc bien le repère des gens de pouvoir. Beurk encore un ramassis de foutaises. Voilà que ca recommence... saloperie d'esprit cartésien, de logique floue et de délire post-traumatique.

Pour continuer - parfois commencer - à construire ses connaissances ou ses repères, il faut aller au bout de son raisonnement, au bout de la raison, au bout de ses pensées et surtout penser aux autres : voici "la" raison de ce repos au sens des valeurs morales bibliques.

Merci de m'avoir lu.

Merci les cachetons.

(c) L'image de la cocotte est tiré du site www.sortirdunucleaire.org

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